30 à 40000 manifestant-es pacifiques bravent le couvre-feu imposé sous le régime de l’état d’urgence.

La police ouvre le feu sur les manifestant•es, plus d’une centaine de morts seront officiellement dénombrés. Des personnes meurent écrasées dans les bouches de métro ou noyées dans la seine.

Ce carnage orchestré par le collaborateur Papon restera dans les mémoires parmi les innombrables horreurs commises par la France coloniale.